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Invité
 |  Sujet: . Floating Word & Floating World } | Flowery Garden  Mer 24 Déc - 14:58 | |
| Bonjour ^o^ Nom de votre forum : . Floating Word & Floating World } | Flowery Garden Genre : Un mot flottant et un monde flottant. Vivre dans les deux n'est pas chose aisée. Plongez à pieds joints dans une double vie unique en son genre. Synopsis ou résumé de votre histoire : - Spoiler:
CONTEXTE // I’M FLOATING BETWEEN TWO WORLDS *
Japon, Tokyo, 2180.
« Le futur est toujours passionnant, vous ne trouvez pas ? »
Les années ont passé très vite et, encore une nouvelle génération vit le jour grâce aux anciens. Cette partie du monde a toujours été très développée, aujourd’hui, elle l’est encore plus. En l’an 2180, les humanoïdes vivent déjà parmi les humains, ils les accompagnent, accomplissant les moindres désirs de leurs maîtres. Le progrès mène inévitablement à cela, et pourtant, au Japon, on a su gardé un minimum de réalisme afin de préserver la vie d’avant, une vie parsemée d’ordinateurs, de voitures et de portables, une vie moderne mais simple.
Les gens semblent heureux de vivre en compagnie de leurs humanoïdes, certains et certaines tombent même amoureux et amoureuse de cette machine si parfaite, fabriquée sur commande. Ce n’est pas impossible comme situation, mais elle fait beaucoup souffrir, principalement les humains, vu que les machines ne ressentent pas réellement les sentiments, mais en connaissent juste le sens, en une simple explication que l’on trouve dans un dictionnaire. Il y a ceux qui détestent ces robots à l’apparence humaine, mais s’efforcent de vivre le plus normalement et calmement possible. Quant aux jeunes de cette génération, à chacun son caractère bien entendu, ceci dit, ils profitent nettement plus de l’existence et, la plus part d’entre eux, possède des humanoïdes, qui les suivent partout où ils vont.
Tokyo. Quartier SAKURA DROPS. University ‘Floating Word’.
« La vie. La vie est une courbe.»
Tokyo comporte beaucoup de quartiers et de districts. Le Sakura Drops, un district très vaste, qui engloutit la moitié de la grande capitale. Quartier réputé pour ses nombreux arbres aux feuilles roses, les cerisiers ; c’est également une partie très fréquentée et appréciée de la ville, il y fait bon vivre, les gens y sont conviviales et chaleureux –pour la plus part- et au centre de celui-ci, se plante une université, une prestigieuse université, nommée : « Floating Word ». Elle s’étend sur une grande surface et comporte plusieurs départements, de façon à ce que toutes les options sont possibles si l’on y étudie, l’on aura qu’à marcher de bâtiment en bâtiment. L’idée de bâtir des dortoirs pour les très chers étudiants effleura, tout naturellement, l’esprit des concepteurs, mais il en fut décidé autrement. Une charmante partie du quartier fut consacrée aux nombreuses habitations, des manoirs, villas, mini villas, appartements de standing, appartements dans la normalité vue par tous, jusqu’aux studios dépourvus de toute sorte de charme, qui sont bien sûr réservés aux plus démunis. Effectivement, ce quartier est particulièrement fréquenté et peuplé de gens riche et aux porte-feuilles très bien garnis, mais il n’est pas impossible de croiser des jeunes gens ayant réussi à décrocher une bourse grâce à leurs efforts.
Au Sakura Drops, on ne s’ennuie jamais et pour cause, il va dans un esprit similaire à celui de la grande et célébrissime New York, la ville qui ne dort jamais. Entre bals costumés et fêtes arrosées sans aucun couvre-feu, on en perd facilement la tête. Nous sommes certes au Japon, mais ce quartier regorge d’étrangers, américains, français, anglais, australiens, il y a de tout et, pour les trois quart, ce sont de riches héritiers et héritières qui ont un goût assidu pour l’alcool et les fêtes jusqu’au petit matin. Malgré tout, les cours restent durs et il faut prendre ses notes et assurer aux partiels, certains ne se gênent pas du tout pour arborer leurs immenses fortunes dorées, tandis que d’autres, font ce qu’ils peuvent pour combiner travail, études et vie sociale. Dur dites-vous ? La vie est un continuel combat jusqu’à la mort. Deux choix s’offrent à nous, prendre les armes et combattre ou tout laisser tomber et creuser sa tombe. Que de cruauté ce monde si rond pourtant si plat.
Les Tokyoïtes de nos jours sont extrêmement influencés par les nouvelles modes des américains et américaines, et quelque part, cela a toujours été le cas. Quand au reste du monde, lui, suit cet engouement récent pour le Japon et la culture asiatique en général ; même les américains y vont afin d’y vivre, d’y travailler ou y poursuivre ses études. Les parents se laissent facilement séduire par les beaux discours de leurs grands enfants : Le Japon, rien de mieux pour respirer l’air pur et frais, pour prendre un nouveau départ et laisser toutes les bêtises puériles derrière, dans le passé ; bien sûr, qui résisterai à cela ? Seuls ceux qui connaissent incroyablement bien leurs progénitures sauraient contrer cette ruse, mais soyons honnêtes une seconde : Ces parents si riches et si préoccupés, chacun par son travail, ses mensonges et ses activités, comment pourraient-ils avoir le temps de bien connaître leurs enfants ? Ces enfants eux, se divisent en deux groupes ; ceux qui s’en fichent totalement et en profitent pour faire beaucoup de choses et ceux à qui ça fait mal au cœur, qui souffrent de cette situation et décident de prendre des distances afin de repartir à zéro et, pourquoi ne pas trouver réconfort dans les bras de notre humanoïde, qui sait ?
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Floating World. Neville.
« Le monde si haut, où se reflètent les rêves, n’est pas toujours sans failles. »
Le Floating world est un monde flottant, existant dans l’imagination des gens, un monde qui semble parfait, immaculé et rêvé. On y trouve l’immense fontaine des souhaits, des avenues et des rues peuplées de gens différents, des magasins, des restaurants et des habitations. On aurait dit un monde normal mais il n’en est rien ; il est totalement caché dans les nuages et les brumes des pensées, pour tout monde, il y a des bas fonds et des recoins sombres. Les gens sont partagés entre le monde réel et celui-ci. Neville –appellation nouvelle pour le Floating world- est divisé en deux partie, qui constituent les deux seules et grandes villes : Neville East et Neville West. Les deux villes sont en constante compétition et ne s’entendent pas très bien, voir pas du tout. Deux villes rivales. Mais chacune de classe différente : Neville East, ville de riches et de bourges, où les habitations ressemblent étrangement à des châteaux. Neville West, ville de moins riches et de pauvres, le travail est la seule solution pour tous. La prostitution y coule à flot. Bagarre, drogue, il est dur d’y vivre.
Néanmoins, les habitants de l’est peuvent très bien se rendre à la ville voisine et vice versa, cependant, certains prennent cela assez mal et souvent, cela se termine à l’hôpital. Un immense lac sépare les deux villes, un lac accueillant aisément les bateaux, qui mènent vers l’une et l’autre, sous accord des deux parties.
Les personnes vivant dans le monde réel ont, à Neville, une toute autre identité et subissent le de cette identité. Cependant, ils n’ont pas conscience de ce qu’ils vivent. La nuit, lorsqu’ils s’endorment profondément dans le véritable monde, la nouvelle vie commence dans le monde flottant ; parfois, certains évènements reviennent en mémoire sous forme de rêves ou cauchemars, mais la plus part du temps, personne ne se souvient de rien. Mais un sentiment étrange demeure dans le cœur de chacun, une sensation inhabituelle, comme une présence, semblable au principe de « l’autre vie » ou même de la réincarnation. Il n’est pas rare d’entendre quelqu’un dire : « J’étais ceci dans une autre vie. ». Peut-être, oui. [A la seconde question "Quel parfum ?", répondez simplement: "Sucré léger"]
Les personnes qui se rencontrent à Neville, se sentent étrangement liées dans le vrai monde, le contraire est aussi valable ; certains ont des doutes sur l’existence d’un second World, d’autres y pensent mais trouvent cela totalement absurde et rejettent l’idée bien loin d’eux. Même les humanoïdes se voient devenir humains. Tout le monde a sa chance –si l’on peut considérer cela comme chance. C’est peut-être pour cela, que les rêves sont si sucrés.
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